jeudi 14 avril 2011

Laboratoire :

6 - "Mes amis, Mes amours"
L'affiche :La bande-annonce :


Fiche pédagogique sur l'analyse filmique ici.

8 - Compréhension globale
Résumé des 3 situations de colocation :
Voir la vidéo

Mots pour le remue-méninges :
Crise
Compagnie
Tôt
Rupture
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Liens pratiques :
http://www.le-dictionnaire.com/
http://www.gommeetgribouillages.fr/synonymescontrairesCECMpdf.pdf

mercredi 13 avril 2011

Littérature Francophone :

Voici quelques vidéos où vous pouvez entendre parler créole :

Une interview en créole de l'artiste réunionnais albinos Danyel Waro


Un reportage sur le créole dans la vie quotidienne ici.

Le Notre Père en kreyol :



vendredi 1 avril 2011

Sport :






"La pétanque (de l'occitan pès: pieds, et tancar: fermer) est un jeu de boules dérivé du jeu provençal. C'est le huitième sport en France par le nombre de licenciés : 362 867 joueurs recensés (fin 2007)[1] ; il existe de nombreuses fédérations nationales affiliées à la fédération internationale. Fin 2007, on compte 558 898 licenciés répartis dans 78 pays, de l'Algérie au Viêt Nam. À ces chiffres, il convient de rajouter les pratiquants occasionnels, en vacances notamment, c'est-à-dire plusieurs millions d'amateurs.

C'est un sport principalement masculin (seulement 14 % des licenciés sont des femmes en France). Néanmoins, c'est l'un des rares sports où des compétitions mixtes sont organisées.

À la pétanque, l'objectif est de marquer des points en plaçant ses boules plus près du but que son adversaire.

Équipes
Dans ce sport, trois combinaisons sont possibles. La triplette (trois contre trois), la doublette (deux contre deux) et le tête-à-tête (un contre un). Toute autre formule est interdite par le règlement officiel. En triplette, chaque joueur dispose de deux boules. Dans les autres configurations, chaque joueur en a trois.
Distance
En catégorie sénior le jeu doit se dérouler entre 6 et 10 mètres.
Le terrain
La pétanque se pratique sur tous les terrains. La plupart du temps en compétition, des « cadres » (un cadre est un terrain sur lequel doit se dérouler une partie) sont tracés ; les dimensions officielles sont alors de 15 mètres de longueur pour 4 de largeur, et a minima de 12 mètres sur 3.
Le cercle (de lancer)
C'est un rond, tracé sur le sol, dans lequel le joueur doit se tenir pour lancer sa boule. Son diamètre est compris entre 35 et 50 cm.
Début de la partie
L'équipe qui gagne le tirage au sort trace le cercle, lance le but et la première boule.
Déroulement
Une équipe lance ses boules tant qu'elle en a, et jusqu'à ce qu'elle place une de ses boules plus près du but que celles de l'équipe adverse. Elle (re)prend alors le point et c'est à l'équipe adverse de jouer, si elle a encore des boules.
Décompte
Lorsque l'ensemble des boules sont lancées, on comptabilise toutes les boules d'une équipe qui se trouvent plus près du but que la plus proche des boules adverses.
Fin de la partie
Une partie se joue en 13 points, éventuellement en 11, pour les parties de poules. Jusqu'en 2007 les finales des championnats du monde se déroulaient en 15 points.
But nul
Si le but est sorti en dehors des limites autorisées (généralement suite à un tir) ou s’il n’est pas visible (caché par un arbre, de l’herbe, etc.) — sauf si c'est une boule qui le cache — ou encore s’il flotte librement dans une mare d’eau, on distingue deux cas : si les deux équipes ont encore des boules, ou si, au contraire aucune des deux n'en a plus, la mène est nulle ; sinon, l'équipe qui a encore des boules comptabilise autant de points qu'elle a de boules en main.

Les règles du jeu sont édictées par la Fédération internationale."

Source wikipédia

Tradition :

"Un poisson d’avril est une plaisanterie, voire un canular, que l’on fait le 1er avril à ses connaissances ou à ses amis. Il est aussi de coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet.

Pour les enfants, il consiste à accrocher un poisson de papier dans le dos de personnes dont on veut se gausser. « Poisson d’avril ! » est aussi l’exclamation que l’on pousse une fois qu’une des plaisanteries est découverte, ou pour avertir la victime du canular que l’histoire qu’on vient de lui raconter est fausse."